mardi 28 avril 2009

Contrôle Chez Carrefour

Je vous invite à regarder une vidéo intitulée contrôle chez carrefour.
clic ici

lundi 27 avril 2009

Communiqué de BDS France



Samedi 25 avril les militant-es de la campagne BDS France ont mené des actions coordonnées et simultanées envers la société Carrefour afin d'obtenir le retrait à la vente des produits indiquant- quand cela est indiqué- la provenance "israel" dont la commercialisation est illégale.


A Carrefour Bercy II, à l'intérieur du supermarché, une quarantaine de citoyens ont exigés que le groupe renonce à proposer aux consommateurs ces produits hors-la -loi, à Toulouse Purpan 1500 tracts étaient distribués, accompagnés d'explications à l'intérieur du magasin, tandis qu'a Lyon le groupe BDS local après diffusion de tracts était reçu au même moment par la direction de Carrefour Venissieux.


Les coordinateurs de la campagne BDS France demandent à être reçus par la direction nationale de Carrefour pour pouvoir exposer leurs griefs et connaître précisément la position de l'enseigne sur ce sujet, et sont déterminés à poursuivre les actions de ce type dans les magasins Carrefour sur toute la France pour être entendus.


Israël est le seul Etat au monde qui n'a pas fixé ses frontières et poursuit une occupation et une colonisation illégales de la Palestine. Cet état exporte vers l'Europe des produits de ces colonies illégales en contravention avec le droit européen, qui interdit clairement la vente de ces produits sur le territoire de l'Union Européenne.


Carrefour est le principal importateur en France de ces produits, et n'a mis en place strictement aucun dispositif de traçabilité. Carrefour se rend complice de l'importation illégale de produits soi-disant israéliens mais en fait venant des colonies illégales à Jérusalem-Est et en Cisjordanie.


La campagne BDS France relaie l'appel de la société civile palestinienne à mettre en place une campagne BDS mondiale pour forcer Israël à respecter le droit international. En coordination avec le comité national de boycott palestinien (qui siège à Ramallah, Palestine occupée) et avec les campagnes BDS nationales des autres pays européens, les militant-e-s pour le droit et la justice de la campagne française mènent régulièrement des actions d'information et d'interpellation pour faire cesser la complicité active des institutions et entreprises françaises avec l'Etat d'Israël dans ses violations constantes du droit international.


www.campagneboycott.blogspot.com

jeudi 23 avril 2009

Boycott de Dexia

Le congrès des syndicats écossais adopte le boycott

Le Congrès des syndicats écossais, actuellement réunis à Perth, vient d’adopter la motion concernant le Boycott, le Désinvestissement et les Sanctions (BDS) à l’encontre d’Israël.

C’est à une écrasante majorité de votes à mains levées que le Congrès des Syndicats Ecossais (Scottish Trade Union Congress STUC), vient de voter ce mercredi cette motion BDS.

Elle a été proposée aux votes par une délégation du syndicat qui s’était rendue en Palestine récemment.

Une décision importante, qui suit celle du congrès des syndicats irlandais qui avaient adopté cette motion dès 2007, et qui devance, espère-t-on, celle du Congrès des Syndicats Britanniques (TUC) qui doit se réunir prochainement.

Une progression inexorable de la prise de conscience de la société civile sur la menace que fait peser Israël sur le peuple palestinien et sur le droit en général.

Source:

http://www.europalestine.com/spip.php?article4049

jeudi 16 avril 2009

Vos achats : Attention à ce que vous achetez




Alstom est exclu d’un fonds de pension...

Le fond de pensions suédois AP7 est la dernière institution à suivre l’exemple de l’investissement socialement responsable de la ASN Bank hollandaise en excluant la société de transport française Alstom .

Alstom est exclu à cause de sa participation à l’occupation des territoires palestiniens par Israël. Les militants et les chercheurs proclament que les compagnie françaises Alstom et Veolia sont directement impliquées dans le maintien des colonies illégales des Territoires Occupés Palestiniens et jouent un rôle essentiel dans la tentative de rendre l’annexion de Jérusalem Est irréversible. C’est la raison pour laquelle la Dutch ASN Bank a décidé d’exclure Veolia de ses portefeuilles en plus des compagnies qui tirent bénéfice de l’occupation.

D’autres banques depuis ont suivi la démarche de ASN Bank pour un investissement socialement responsable. C’est par différentes actions que les militants suédois ont informé le public sur le rôle des compagnies bénéficiant de l’occupation. L’organisation non gouvernementale Diacona Research informait en octobre 2008 sur l’usine du Barkan Industrial Park de la colonie de la rive ouest du Jourdain et amenait la décision de désinvestissement du propriétaire Assa Abloy.

A ce même moment Veolia signait à Stockolm un contrat d’investissement de 4,5 milliards de dollars sur 8 ans afin de construire le métro. Un journaliste suédois posa la question de l’implication de Veolia dans le projet du tramway israélien et dans la normalisation des colonies illégales. Lors de la manifestation du 15 Novembre 2008 « Carte rouge pour Veolia » il fut demandé aux passagers du métro de Stockolm d’épingler une carte rouge sur leur vêtement pour protester contre l’engagement de Veolia dans la construction du tramway de Jérusalem sur le territoire palestinien.

On pense que ce mouvement de protestation a contribué à ce que le fond de pension suédois AP7, l’un des plus gros investisseurs suédois et le plus connu pour l’éthique de ses investissements, mette Alshtom sur sa liste noire . AP7 qui gère un fond de pensions s’élevant à 90 milliards de Couronnes ( 15 milliards de dollars ), annonçait dans son rapport annuel de 2008 les compagnies qu’il excluait de sa liste pour des raisons éthiques .

Alstom était noté comme une compagnie dans laquelle AP7 aurait aimé investir . Cependant le rapport affirmait que, au vu de la participation de l’engagement d’ Alstom dans le projet du tramway de Jérusalem et donc de sa responsabilité dans les atteintes aux Droits de l’Homme, la compagnie n’était pas conforme aux critères d’investissement de AP7 [1].

De plus au milieu de l’année 2008 AP7 décidait de vendre toutes ses participations dans les compagnies fabriquant des bombes ou des armes atomiques . Le PDG Richard Grottheim annonça qu’il attendait que « d’autres fonds de pensions suivent son initiative » .

Le fait que AP7 qualifie Alstom d’« inadapté à ses investissements » devrait entrainer ce même type de conséquence. Le 16 mars le Sandwell Council (Conseil Sandwell) au Royaume Uni annonçait que Veolia ne figurait pas sur la courte liste des 3 compagnies retenues pour le contrat de la collecte et le recyclage de déchets pendant 25 ans, contrat de 1 milliard de livres (1.43 milliards de dollars ). La Campagne de Solidarité Palestine a initié la campagne Sandwell Bin Campaign (Campagne Sandwell des Poubelles) en demandant au public de signer une pétition exigeant que le Conseil exclue Veolia de la liste des contrats à approuver .

La pétition soutenait que Veolia devait être exclu du fait de son acceptation de contrats avec Jérusalem contrevenant à la loi internationale et aux résolutions de l’ONU. Interrogé sur les raisons de l’exclusion de Veolia de sa courte liste, le responsable de la communication du Sandwell Council affirma que les présumées activités de Veolia n’avaient eu aucun rôle dans le processus de décision. « En droit le Conseil ne permet pas que des raisons non commerciales influencent les choix de ses partenaires en ce qui concerne le recyclages de déchets et les services de nettoyages de rues à Sandwell » .

Cependant le 10 février 2009 dans un article publié par Electronic Intifada, cet auteur ainsi que l’attorney Daniel Machover affirmait que la loi estimait légal que l’on exclue Veolia des contrats publics en raison de « ses graves inconduites » . A Melbourne , Australie, la campagne Veolia décollera avec la campagne Dump Connex qui démarrera le 30 mars à propos dune filiale de Veolia qui gère les services de trains de Melbourne. Les militants vont distribuer 100 000 tracts aux usagers des trains de Melbourne. Les tracts expliqueront non seulement la colère des usagers contre les services de transport de mauvaise qualité mais aussi que Veolia a signé un contrat de 30 ans avec Israël pour diriger un tramway qui traverse les territoires occupés palestiniens. Les usagers sont invités à signer le tract et à l’adresser au Ministre des Transport de l’état Lynne Kosky. Adro Nieuwhof , Conseiller et Avocat des droits de l’Homme en Suisse
http://www.france-palestine.org/article11538.html

lundi 13 avril 2009

VEOLIA, UN CONTRAT DE MOINS, AU SUIVANT !!



La filiale transport de la multinationale française Veolia vient de perdre un contrat d’une valeur de 750 millions d’euros à Bordeaux. Ce contrat représentait la gestion du plus important réseau urbain de France. Le marché a été attribué à Keolis, filiale de la Sncf.

La Communauté Urbaine de Bordeaux a indiqué que sa décision était basée sur des facteurs commerciaux, mais le questionnement sur l’implication de Veolia dans le projet controversé de tramway à Jérusalem (le « Jerusalem light railway ») a partout suscité un débat intense.

En effet, les entreprises françaises Veolia et Alstom sont mises en cause depuis plusieurs années en raison de leur participation à un projet de construction d’un tramway à Jérusalem, destiné à relier Jérusalem-ouest (Israël) avec des colonies israéliennes illégales dans les territoires palestiniens occupés. Ce contrat a suscité de vives polémiques sur la politique éthique de Veolia.

Le directeur général France Voyageurs de Veolia Transport, Francis Grass, estime que Veolia a «des interrogations très importantes [...], le sentiment que les choses ne sont pas faites de façon équitable»... En réalité, l'implication de Veolia dans la situation d'apartheid lui a déjà fait perdre
plusieurs contrats, et ce n'est que le début

mercredi 1 avril 2009

Action originale à lyon a l'occasion de la journée de la Terre

Un sondage israélien indique que 21% des exportateurs sont touchés par le boycott

Saed Bannoura – Imemc News – 30 mars 2009

Selon un article publié dimanche dans un journal d’affaires de langue hébraïque, The Marker, 21% des exportateurs israéliens disent qu’ils ressentent directement les effets du boycott des produits israéliens depuis le début 2009.

Le sondage a été réalisé par l’Union des industriels israéliens, et ce pourcentage est tiré d’un échantillon de 90 entreprises comprenant diverses industries notamment de la haute technologie, de la construction, du textile et de produits alimentaires.

L’appel mondial au boycott des produits israéliens, lancé en 2005, a pris de la vigueur en janvier 2009 après l’invasion par les forces israéliennes de la bande de Gaza avec une violence massive, tuant 1 400 personnes, dont 400 enfants. A travers le monde, les Palestiniens de la diaspora et les défenseurs des droits humains se retrouvés dans des manifestations, des marches et des actions, attirant l’attention pour un boycott d’Israël. Certains groupes appellent à un boycott des produits exportés depuis les colonies israéliennes et par des entreprises qui tirent leurs profits de l’occupation militaire israélienne, mais d’autres groupes de boycott appellent à boycotter tous les produits israéliens.

Les militants engagés dans le mouvement du boycott disent s’inspirer du modèle créé pour s’opposer à l’apartheid d’Afrique du Sud dans les années 1980, et font valoir qu’il existe de nombreuses similitudes entre le système d’apartheid sud-africain qui discriminait la population africaine indigène du pays, et l’occupation israélienne dans laquelle des lois différentes s’appliquent selon qu’il s’agit de la population palestinienne indigène ou de la population israélienne qui s’est déplacée à l’intérieur du pays au cours des 60 dernières années.

Les groupes soulignent d’autres parallèles entre l’occupation israélienne et l’apartheid d’Afrique du Sud, notamment les « pass laws » (réglementation discriminatoire pour les déplacements des indigènes), les déplacements forcés de populations, les check-points et les lois et pratiques discriminatoires. Selon la Campagne Stop the Wall (http://www.stopthewall.org/), « L’apartheid a commencé et s’est enraciné dans l’instauration même du régime colonial israélien, organisé en tant qu’Etat réservé aux juifs, tant en droit (de jure) que dans la mise en œuvre de ses objectifs à différents niveaux (de facto). Ceci inclut ces mécanismes utilisés pour justifier ses pratiques afin d’éviter sa légalisation. L’apartheid est caractérisé par le transfert forcé de populations, le contrôle sur la terre, l’exploitation par le travail, l’humiliation, et le meurtre de masse. »

Parmi les entreprises boycottées dans le cadre de cette campagne, on trouve Motorola qui fabrique des fusibles pour les roquettes de la série M80, Caterpillar qui fabrique les bulldozers D9 qui servent à la démolition des maisons palestiniennes, Connex et Alstom qui ont remporté l’appel d’offre pour la construction d’un train à grande vitesse qui traversera les quartiers palestiniens de Jérusalem-Est – démolissant les maisons de tous les Palestiniens le long de la ligne, sans indemnisation ni recours juridique possibles, Agrexco qui exporte des fruits et des légumes sous le nom de Carmel, produits dans les colonies israéliennes en Cisjordanie.

Certaines des actions ont déjà eu lieu depuis janvier, notamment le retrait des produits israéliens des rayons de supermarchés à Paris, le blocus des ports en Afrique du Sud, des manifestations de masse en Jordanie et en Turquie contre les importations israéliennes, et beaucoup d’autres encore.

Le site israélien (http://www.whoprofits.org) conserve et met à jour les informations sur les entreprises qui, soit profitent de l’occupation israélienne, soit exportent des produits venant des colonies israéliennes. Le mouvement mondial BDS (boycott, désinvestissement et sanction) appelle au boycott de ces entreprises.

Une analyse complète, traduite de l’hébreu, de ce sondage des exportateurs israéliens sera publiée par Alternative Information Center (http://www.alternativenews.org) dans les prochains jours.

LE MONDE EN MOUVEMENT

Pour voir la liste des actions qui ont eu lieu par tout dans le monde clic ici

Boycottez Israël ! Demandez-lui des comptes pour ses crimes à Gaza !


30 mars 2009. Aujourd’hui, le peuple palestinien dispersé à travers le monde marque la Journée de la terre, commémorant les évènements d’il y a 33 ans quand les forces de sécurité israéliennes ont tué six jeunes citoyens d’Israël et blessé de nombreux autres.

Ces jeunes courageux faisaient partie des milliers de manifestants contre l’expropriation des Palestiniens de leur terre par Israël afin de construire de nouvelles colonies juives et d’étendre les villes juives existantes. Aujourd’hui, la Journée de la terre symbolise la résistance palestinienne à l’expropriation sans discontinuer des Palestiniens par Israël, à l’apartheid, à la colonisation et à l’occupation. Elle marque aussi la première journée mondiale d’actions pour les droits palestiniens et pour le boycott, les désinvestissements et les sanctions (BDS), lancée au Forum social mondial de 2009 au Brésil.

La politique raciste d’Israël de confiscation de la terre palestinienne et de déplacement forcé des Palestiniens s’est renforcée depuis la première Journée de la terre. Le nettoyage ethnique qu’Israël appelle « judaïsation » se poursuit vivement dans les villes historiques de Palestine, dont Jérusalem, Jaffa, Acre, Lydda et Ramla, avec son lot quotidien de démolitions de maisons et d’expulsions forcées. La saisie agressive de la terre par Israël se poursuit avec la construction du mur d’apartheid et l’expansion des colonies sur la terre palestinienne occupée. Des centaines de milliers de Palestiniens sont confrontés à une expulsion imminente, leurs villages risquant fort d’être rayés de la carte dans leur intégralité.

De plus, les injustices fondamentales qui ont donné naissance à l’appel original de BDS à la société civile palestinienne en 2005 (voir : http://www.protection-palestine.org/spip.php?article1125) sont plus graves que jamais.

Israël nie toujours aux réfugiés palestiniens, victimes du nettoyage ethnique lors de la Nakba de 1948 et depuis, leur droit stipulé par les Nations unies au retour dans leur foyer d’origine ; Israël continue sa discrimination raciale institutionnalisée contre les citoyens palestiniens d’Israël ; et son occupation militaire de la Cisjordanie , dont Jérusalem-Est, et de la bande de Gaza s’est renforcée dans la répression et la cruauté.

La Journée de la terre de cette année revêt plus d’importance encore à la lumière de la guerre atroce d’Israël contre le peuple palestinien assiégé et sous blocus total dans la bande de Gaza occupée. Les 1 400 tués, 5 000 blessés et 14 000 immeubles endommagés ou détruits ne sont pas seulement la plus récente manifestation de mépris de la vie palestinienne par Israël. Le silence des gouvernements des grandes puissances dans le monde, face au massacre, a marqué une nouvelle fois l’incroyable incapacité de la « communauté internationale » à faire respecter le droit international et à rendre Israël responsable de la violation persistante et grave des normes internationales les plus fondamentales.

En effet, toutes ces formes de l’oppression coloniale et raciste israélienne ne pourraient avoir atteint ce seuil critique sans le soutien direct ou indirect et la complicité des Etats-Unis, de l’Union européenne et de nombreux autres pays, dont plusieurs régimes arabes. L’isolement d'Israël par le boycott, les désinvestissements et les sanctions (BDS), comme autrefois avec l’apartheid d’Afrique du Sud, doit devenir une priorité pour tous ceux qui se battent pour la liberté, la justice et l’application systématique du droit international et des principes universels des droits de l’homme.

Pour les martyrs de la Journée de la terre et les milliers d’autres qui ont donné leur vie pour la liberté, la justice et l’autodétermination, pour les milliers d’emprisonnés à cause de leur engagement en faveur de la dignité humaine, pour Gaza, pour le retour, l’égalité et la liberté, le Comité national palestinien de BDS appelle les hommes et femmes de conscience, partout dans le monde à combattre toutes les formes d’oppression, à boycotter Israël et s’en désinvestir ainsi que des entreprises qui profitent de l’oppression, jusqu’à ce qu’il se conforme à ses obligations de par le droit international et reconnaisse nos droits inaliénables sur notre terre.

Nous saluons tous les groupes et particuliers qui ont répondu à l’appel en organisant des manifestations en lien avec BDS à cette journée mondiale d’actions pour la Palestine. Avec votre soutien, nous vaincrons.

les effets du boycott commence à se faire sentir

Le boycott économique d'Israel marche: 21% des exportateurs israéliens touchés.
21% des exportateurs israéliens ont été directement affectés par le mouvement de boycott depuis le début de 2009. C'est ce que The Marker, un journal économique en hébreu, rapporte aujourd'hui (29 mars). Le nombre est basé sur un sondage de 90 exportateurs israéliens dans les domaines comme les hautes technologies, les métaux, les matérieux de construction, la chimie, les produits textiles et agricoles. Le sondage e été fait en janvier-février 2009 par d'Union des industriels israéliens.
L'AIC cherche a avoir une copie de ce sondage, et traduira et distribuera les parties principales au service du mouvement global de boycott.